dimanche 29 août 2010

Populisme ou démagogie? Ni l'un ni l'autre, ou les deux à la fois!

Pour répondre à ceux qui voient ce « recours au peuple » comme une sorte de manipulation générale dans un but inavouable, je livre quelques définitions trouvée sur l'inépuisable source d'information qu'est internet. La pluralité des opinions exprimées dans ces quelques phrases montre bien que le peuple, assemblée de citoyens ou groupes d'employés, fait peur aux dirigeants (parlementaires et gouvernement mais aussi patrons et cadres des entreprises) et que lui donner la parole peut être dangereux. Je tiens toutefois à préciser que s'obstiner à ne jamais donner la parole aux citoyens, quelles qu'en soient les raisons, bonnes ou mauvaises, c'est risquer de les voir la prendre par la force.
  • Le populisme désigne un type de discours et de courants politiques, critiquant les élites et prônant le recours au peuple (d’où son nom), s’incarnant dans une figure charismatique et soutenu par un parti acquis à ce corpus idéologique.
  • Populisme : discours politique favorable aux classes défavorisées, et souvent hostile aux élites; Courant littéraire français cherchant à dépeindre avec réalisme la vie des gens du peuple.
  • La démagogie (du grec demos « le peuple » et ago : « conduire ») est une notion politique et rhétorique désignant l'état politique dans lequel les dirigeants mènent le peuple en s'attirant ses faveurs, notamment en utilisant un discours flatteur.
  • Action politique qui vise à conquérir ou à conserver le pouvoir en flattant le peuple, dans le seul but de satisfaire son intérêt personnel. À l'origine, le terme n'a pas le sens péjoratif qu'il a acquis depuis : demagogia signifie en grec l'art de gouverner le peuple.
  • Démagogue - Trait spécifique du mode de pensée et du discours des gauchistes qui consiste à faire passer sournoisement leurs idées qui sont totalitaires et antidémocratiques, sous le couvert d'idéaux comme la démocratie et de liberté.
  • Démagogue - Littéralement "celui qui conduit le peuple" avec à l'origine, une idée de justice. C'est à partir de la guerre du Péloponnèse que le terme prendra une connotation péjorative et s'appliquera à tous ceux qui mènent le peuple par la flatterie.

samedi 28 août 2010

Base documentaire sur les types de démocratie.

Quelques définitions de la démocratie:
  • La démocratie est le régime politique ou, plus largement, un corpus de principes philosophiques et politiques, voire le phénomène social égalitaire, dans lequel le peuple est souverain et détient le pouvoir collectivement.
  • C'est le gouvernement par le peuple et pour le peuple qui exerce son droit de décider soit directement soit plus souvent par ses représentants élus.
  • Système politique fondé sur le respect de tous qui généralise le dialogue et encourage la participation du peuple à tous les niveaux de tous les organes de la société civile.
  • De "démos" : peuple et "kratos" : pouvoir. Littéralement : autorité du peuple, les décisions étant prises à la majorité des voix. Souveraineté de la loi, égalité et liberté politique sont ses 3 grands principes à l'exception près que les grecs excluaient femmes et esclaves de leur "démos".
  • Conquête philosophique, puis politique du 18 ème siècle. La démocratie à l'occidentale semble être aujourd'hui une porte d'entrée par laquelle des pays non démocratiques peuvent accéder à la globalisation.
  • En démocratie l'ensemble des citoyens (sans distinction de naissance, de fortune ou de capacité), détient le pouvoir souverain et exprime sa volonté par le vote. Il n'existe cependant pas de critère officiel internationalement reconnu pour indiquer ce qui est une démocratie ou pas.
  • État où les libertés fondamentales (circuler, s'exprimer, se réunir, s'associer, voter ...) le droit à l'opposition, les droits de l'homme sont respectés et où l'ensemble des citoyens riches ou pauvres constituent la source du pouvoir.
  • Plaisanterie grecque sur le pouvoir du peuple inventée à Athènes où les femmes, les enfants et les esclaves étaient privés de la parole.
  • Régime où tout le monde a le droit de dire que l'on est en dictature. (Georges Hahn)

Quelques définitions de la démocratie représentative
  • La démocratie représentative ou régime représentatif ou gouvernement représentatif est un régime politique dans lequel on reconnaît à un organisme le droit de représenter une nation ou une communauté.
  • Forme particulière de la démocratie où le peuple confie à ses députés le soin d'adopter les lois et d'élire les magistrats.
  • La démocratie parlementaire est une forme de démocratie moderne. Elle va souvent de pair avec la démocratie représentative, dite aussi démocratie indirecte, par opposition avec la démocratie directe.
  • Mode d'exercice de la démocratie représentative dans lequel le gouvernement et le Parlement collaborent et dépendent l'un de l'autre.

Quelques définitions de la démocratie directe
  • La démocratie directe est un régime politique dans lequel les citoyens exercent directement le pouvoir. Appliquée au seul secteur économique, la démocratie directe est souvent appelée autogestion.
  • Forme particulière de la démocratie où le peuple vote toutes les lois et élit tous les magistrats.

Quelques définitions de la démocratie participative:
  • La démocratie participative est une forme de partage et d'exercice du pouvoir, fondée sur le renforcement de la participation des citoyens à la prise de décision politique.
  • On demande au peuple de participer aux projets d'amendements. Pas une mauvaise idée dans l'absolu, mais le problème c'est que le risque de démagogie est très élevé. De plus, ça tend à faire croire que le peuple est compétent pour s'exprimer sur tous les sujets, ce qui n'est évidemment pas le cas.
  • C'est un néologisme, qui consiste à exploiter la créativité de citoyens pour combler les lacunes de certains partis politiques incapables de proposer quoi de que ce soit. En résumé, c'est "votez pour nous et dites-nous ce que nous devons faire pour vous être agréable".

jeudi 26 août 2010

Elections présidentielles 2012

Je travaille actuellement sur ma déclaration de candidature pour ces élections. J'en livrerai prochainement une première ébauche.
Conjointement, je mets sur pieds les statuts d'une association loi 1901 qui regroupera celles et ceux qui accepteront de me soutenir dans cette future campagne.
Il restera, bien évidemment, à recueillir les 500 signatures nécessaires pour passer le dernier cap. Ces fameuses signatures qui sont un rempart aux "candidatures fantaisistes" et qui avaient, en son temps, éliminé Coluche des présidentielles : les politiques de l'époque avaient été terrifiés à l'idée qu'il puisse entraîner derrière lui les abstentionnistes et être élu.
En ce qui me concerne, je souhaite que ceux qui ne votent pas d'ordinaire parce qu'ils ne se sentent pas concernés par la politique puisse trouver dans ma candidature une bonne raison de retourner dans l'isoloir.
Mais nous n'en sommes pas encore là... Il reste un peu de chemin avant cela et pas beaucoup de temps.

dimanche 22 août 2010

Le président de la république

  Dans le cadre des élections présidentielles qui se dérouleront en 2012, il m’a paru nécessaire d’apporter des précisions sur le rôle et les fonctions dévolus au Président de la République dans le cadre de la Royauté Républicaine Française.
  Les Français ont pu constater que, ces dernières années, le respect du texte de la Constitution était pour le moins approximatif. En effet, le président actuel, en occupant à lui seul les fonctions de Président de la République, de Premier Ministre et de directeur de la communication en panne d’imagination a enfreint les articles de la Constitution qui régissent ses droits, devoirs et obligations. Ces seuls écarts auraient du éveiller les soupçons, mais personne n’a rien dit.
  Dans la perspective d’une éventuelle campagne électorale, les points suivants concernant la Présidence de la République sont à ajouter au texte des principes généraux. Je procéderai à une mise à jour de la partie concernée dans les jours qui viennent.
1)    Le Président de la République n’a pas vocation à intervenir dans la gestion quotidienne des affaires. Les dossiers sont traités par le Gouvernement lors des Conseils des Ministres ou par les députés et les sénateurs lors des sessions parlementaires.
2)    Le Président de la République, s’il ne décide pas de la politique du Gouvernement, peut lui imposer une orientation générale sur les manières de procéder ou la façon de les faire appliquer. Il peut lui demander de les traduire dans les textes si nécessaire.
3)    Le Président de la République n’est pas le chef de l’exécutif. Il assure la séparation des pouvoirs et l’indépendance de la justice. Il représente la Nation Française pour les pays étrangers.
4)    Le Président de la République a la charge des structures des institutions pour permettre la pleine application de la Constitution. Il soumet ses décisions au Conseil des Ministres, au Parlement ou à la Nation si la nécessité l’exige. Il peut déléguer, en partie seulement, cette charge, temporairement, à un ou plusieurs ministres ou à une commission parlementaire.
5)    Le Président de la République assiste au Conseil des Ministres mais ne le préside pas. Le Premier Ministre définit l’ordre du jour du Conseil qu’il préside. Le Président de la République peut y ajouter des éléments mais non en retirer. Dans des situations particulières, le Président peut réunir un Conseil des Ministres extraordinaire sur un ordre du jour imposé par l’actualité et régi par les mêmes règles.
6)    Le Président de la République signe les décrets et ordonnances délibérés en Conseil des Ministres. Aucun texte qui n’a pas été délibéré et validé en Conseil ne peut être signé et promulgué par le Président de la République.
7)    Le Président de la République a le droit de véto : il peut refuser de promulguer un texte s’il est contraire à l’intérêt de la Nation ou s’il n’est pas conforme à la Constitution. A cet effet, il peut saisir le Conseil Constitutionnel.
8)    Le Président de la République peut arbitrer les débats au sein du Conseil des Ministres et assurer une cohésion dans les divergences d’opinion des membres du Gouvernement. Il a pouvoir de décision sur les questions de forme et non de fond.
9)    Le Président de la République peut dissoudre l’Assemblée Nationale lorsque la politique du Gouvernement est en opposition avec les revendications profondes de la Nation. Il ne peut toutefois recourir à cette procédure qu’une seule fois. Lors d’un second mandat, la possibilité lui est de nouveau accordée.
10)   Le Président de la République peut soumettre au référendum tout texte du Gouvernement qui ne refléterait pas la volonté de la Nation mais dont l’application est rendue impérieuse. Le Gouvernement, ainsi que le Président, auront le devoir de se conformer aux résultats du scrutin, quel qu’il soit.
Ces points seront développés dans le programme de la campagne électorale.

samedi 21 août 2010

Vos questions et remarques sont les bienvenues!

Chers amis lecteurs ( j'y inclus les internautes qui arriveraient sur ce site par hasard ), vous pouvez désormais m'envoyer vos questions et autres remarques sur une boîte aux lettres dont voici l'adresse :
    mouvement.rrf@gmail.com
N'hésitez pas à faire usage de cette fonctionnalité.

Par avance, merci.

mardi 17 août 2010

Complément d'information


Je dois ajouter au message précédent une précision indispensable. J'ai expliqué que, normalement, lorsqu'on était royaliste, on se rangeait derrière un prétendant et que le but de l'opération était de le voir accéder à la fonction suprême. Seulement, j'ai dit que parmi les candidats disponibles je n'en avais retenu aucun. En voici les raisons ( secondaires, dans un premier temps ) :

    • Si vous allez sur les sites consacrés à la famille royale de France ( Oui, vous avez bien lu ! ) correspondant à la branche des Bourbons issus du Duc d'Orléans ( Dans laquelle on trouve le Régent, Philippe Égalité – le régicide, Louis Philippe Ier – le roi des français de 1830 à 1848, le Comte de Paris – auto proclamé Duc de France, et enfin ses fils et petit-fils, respectivement Henri Comte de Clermont et le Prince Jean ), vous verrez que leurs activités sont à des années-lumières des préoccupations des français. On vous expliquera des subtilités dynastiques qui ne subjuguent plus que les antiquaires. De même, on vous parlera de concepts tellement hors du temps et hors de propos que vous serez parfois contraint d'ouvrir de volumineux dictionnaires spécialisés qui n'ont plus été réédités depuis une centaine d'années pour en saisir la « substantificque moelle », comme disait Rabelais. Pour ne citer qu'un exemple, vous y apprendrez avec quelle joie Henri, Comte de Paris, a titré son petit fils « Duc de Vendôme », lors d'une cérémonie au château d'Amboise, l'année où la République fêtait avec grand tapage le bicentenaire de la Révolution Française. Je pense que cela relève plus de « La croisière s'amuse » ou du « Manège enchanté » que d'une réalité tangible.
     

      • Un autre site mérite le même type d'attention : celui de l'autre branche ( toujours dans le même arbre ) correspondant aux prétendants espagnols représentés par « Monseigneur Louis XX, Duc d'Anjou et de Cadix ». D'ailleurs, pour vous mettre en appétit, je vous livre une phrase extraite du blog suivant :
          « Dieu a fait l'homme libre de mal faire, c'est ce qui explique la possibilité de l'existence de mauvais régimes. Cela n'empêche pas que la théologie sérieuse, avec Bossuet notamment, montre que le meilleur régime en accord avec le catholicisme d'après la notion d'Autorité est la monarchie traditionnelle. »

      • D'autres sites du même genre sont consultables sur le web. Pêle-mêle en voici quelques-uns : « le forum du trône et de l'autel », « musée Louis XVII », et ainsi de suite. Les descendants du pseudo-Louis XVII, issus du survivantiste prussien Naundorff ont également leur vitrine sur l'avenue des « Champs Illusions ».

     

      • Les deux branches « royales » revendiquant âprement le trône de France ont un point commun qui me choque tout particulièrement : on s'y comporte comme pendant l'ancien régime, on s'asperge de titres de courtoisie ( qui ne servent plus guère que pour le recrutement des responsables de la communication dans certaines firmes ), et pire, on fait comme si aucune actualité ( républicaine ) ne se déroulait en dehors de leur sphère.
    Ces arguments ont à eux seuls de quoi épouvanter le français moyen, monsieur ou madame tout-le-monde, dont le gouvernement ( actuel et, paraît-il, républicain ) est sur le point de saccager la prochaine retraite. Mais si j'ai renoncé à choisir parmi ces candidats ( auxquels j'ajouterai les descendants de l'Empereur qui avaient pourtant ma préférence ) c'est tout simplement que les femmes et leur descendance sont exclues de l'ordre de succession. Peut-on logiquement demander à des personnalités princières qui ne respectent pas l'Article Premier de La Constitution ( qui précise que « la loi favorise l'égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives ainsi qu'aux responsabilités professionnelles et sociales » ) d'accéder à la magistrature suprême ? Non ! Ce serait insulter la moitié de la France. Alors, messeigneurs d'Orléans, d'Anjou, de Cadix ou d'où que ce soit, vous savez ce qu'il vous reste à faire : passer votre chemin.

    samedi 14 août 2010

    Quelques précisions utiles !

    Les lecteurs de ce blogs ne sont pas arrivés sur ce site par hasard. Ils ont été invités par mes soins à venir se renseigner : pour cela j'utilise les moyens à ma disposition, notamment Facebook. Si je ne les ai pas invités directement, ils ont du faire des recherches sur le web. Pour pouvoir trouver le site d'information sur lequel vous êtes à présent connecté, vous avez certainement entré des termes comme « royauté » ou « république » ou même les deux à la fois. Il se peut également que vous soyez arrivé ici tout à fait par hasard en indiquant au moteur de recherche un mot ou une expression qui n'a, a priori, rien à voir avec le sujet qui est abordé ici. Quelles que soient les raisons qui vous ont amené ici, il y a une précision capitale que je dois aborder.

    Le nom de ce site, « Royauté Républicaine », même s'il décrit le fonctionnement de la France, républicaine et démocratique, attirera plus l'attention par le premier mot, à savoir : Royauté. Et la question qui viendra à l'esprit de certains, avant de fouiller parmi les pages pour y trouver une réponse, sera la suivante : suis-je royaliste, oui ou non ? Si oui, quel prétendant ai-je choisi ? Si non, pour quel candidat à la future élection présidentielle de 2012 ai-je l'intention de donner ma voix ?

    J'ai été royaliste, jadis, je l'avoue, mais je n'ai réellement jamais su me décider entre les Orléans ou les Bonaparte. Et puis, franchement, j'étais royaliste comme d'autres sont de gauche, ou de droite, ou anarchistes, ou sans opinions, parce qu'il paraît qu'un moment il faut choisir quelque chose ne serait-ce que pour aller voter. Quitte à choisir, autant que ce soit quelque chose d'original. Cette originalité, je la dois à un camarade de classe, Christian Hémery, qui, dès la sixième ( au collège Robespierre, à Arras ! Non, ça ne s'invente pas ! ) en 1974-1975, m'a initié à une histoire de France qui n'était pas simplement scolaire. Je suis né en 1963, ma sixième c'était en 1974, j'ai donc commencé très jeune.

    J'avais donc 11 ans quand je suis tombé dans la fleur de lys. Or, si j'y suis tombé, je m'en suis relevé. C'est bien joli d'être royaliste, encore faut-il des raisons et des arguments pour convaincre que ce n'est pas une idée dépassée. Et puis il y a cette histoire de prétendant. L'avantage d'Internet c'est que toutes les informations sont en ligne : des sites sont consacrés à tout ce qui se rapporte à la royauté, les mouvements royalistes, les querelles dynastiques et ainsi de suite. J'ai lu des articles intéressants, certes, mais tellement « à côté de la plaque » et tellement loin des problèmes quotidiens du français moyen ( dont je suis : je suis fonctionnaire, de base ! ) que j'ai compris qu'ils ne pourraient sérieusement revenir au premier plan. J'ai imaginé, un moment, choisir mon père, Jean Dequéant, comme prétendant: il a une culture encyclopédique et aurait fait un très bon « roi des français ». Il aurait refusé, épouvanté, car, comme j'ai coutume de le dire : « Mon père est républicain comme personne ne l'est plus, et moi je suis républicain comme personne ne l'est encore ! »

    Alors, dans tout ça ? Je vous invite à entrer les critères suivants dans un moteur de recherche :
    - Henri comte de Paris, Général de Gaulle, royalistes, prétendants au trône, Louis XX.
    Vous verrez à quel point les prétendants et leurs sympathisants « marchent à côté de leurs pompes » comme on dit vulgairement.


    Dans ces conditions, quel prétendant ? Réponse : aucun ! J'ai l'intention d'être candidat à la Présidence de la République pour mettre en place les bases d'une véritable démocratie définie dans « Les principes de la Royauté Républicaine Française ». Je rappelle que la durée officielle d'un mandat est de cinq ans !

    jeudi 12 août 2010


    Je viens de terminer la rédaction de la dernière partie des "Principes généraux".

    Le texte est désormais en ligne et complet.

    Toutes les futures modifications feront l'objet d'un message de ce type.

    lundi 9 août 2010

    Articles à lire impérativement

    Comme je connais bien mon sujet et que je ne veux pas garder mes connaissances (et mes trouvailles) pour moi, je vous livre ici quelques liens très utiles pour votre éducation.

    1) Sur le premier site, on peut trouver des informations très précises et souvent méconnues sur la république, les présidents, leurs privilèges (parce qu'ils en ont !). Je vous le conseille vivement pour tout ce qu'il contient.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Président_de_la_République_française


    2) Sur le deuxième site, vous trouverez des informations sur la guerre des manuels scolaires pendant les premières années de la 3ème République ainsi que des commentaires sur la façon dont les livres d'histoire de l'époque ont décrit l'ancien régime.

    http://www.canalacademie.com/ida164-L-Ancien-Regime-vu-par-les-manuels.html


    3) Les deux pages qui suivent donnent de façon complète et précise des informations sur l'histoire du drapeau national. On verra que la réalité historique diffère de ce qui nous a été enseigné.

    http://www.1789-1815.com/1789_07_cocarde1.htm

    http://www.1789-1815.com/1789_07_cocarde2.htm


    4) Sur le site suivant, vous trouverez la description historique (avec des preuves concrètes) d'un épisode peu glorieux de la révolution française.

    http://desaix.unblog.fr/2007/11/09/profanation-des-tombes-royales/

    5) Je vous engage également vivement à faire un tour sur le site suivant :

    http://books.google.fr/

    Et de faire des recherches sur les expressions suivantes "Procès de Louis XVI" , "Armoire de fer" , "Histoire de la terreur". Si vous croyiez avoir conservé quelques souvenirs de vos cours d'histoire, vous vous apercevrez qu'ils sont souvent erronés. Je vous laisse la surprise de la découverte.

    Bon voyage...

    Une rentrée en plein mois d'août !

    Après quelques jours de vacances et un périple dans la France profonde, je suis de nouveau à pied d'oeuvre.

    J'ai profité de ces moments de calme et de sérénité pour compléter les différentes pages de ce site d'information.

    Bonne lecture !